L’ivresse

Par Chuyin Jin, Année 12

Des gouttes de champagne

Qui longèrent autour de ses pupilles

M’enivrait jusqu’aux entrailles 

Au goût des sentiments futiles 

Car la beauté n’est qu’une façade

Et la façade n’est qu’un verre de rosé 

Romantique et éphémère avec l’absence

D’une richesse de rouge marquante

Ces étincelles qui surgissent du fond 

Me noie tel qu’un vagabond 

Ivre que je suis, cruel que tu es

La dernière gorgée me rends muet