By Chuyin Jin, Year 12
A travers ces verres vaporeux,
Les gouttes d’un acharnement laborieux
Coulèrent peu à peu dans le néant,
Telle que la pluie dans l’océan.
Des larmes de sueur et de sang,
D’un amour pur et innocent.
Se mêlent à tout jamais dans le vide.
Au cœur fragile d’une sylphide.
Soudant, le vent s’essouffle doucement,
Les oiseaux chantèrent gaiement,
Et puis les gouttelettes s’évaporent au ciel.
Tout est mis à sec tel un désert,
Sans oasis, les beaux temps éphémères
Se brisèrent telle qu’une rose éternelle.